LA PARTICIPATION DES PUBLICS

Faire davantage participer les publics, les bénévoles, les équipes, on ne sait plus bien s’il s’agit d’un désir ou d’une injonction.
Alors on essaye mais a-t-on suffisamment pris le temps de clarifier nos intentions ? On cherche à recueillir les avis ou à co-décider ? Et si les gens ont des envies concrètes que nous n’avons pas envie de suivre, on fait comment ?
Le sujet de la participation est notamment regardé sous l’angle du pouvoir : faire participer les gens, selon ce qu’on leur propose de vivre, c’est leur accorder plus ou moins de pouvoir. Est-ce qu’on leur propose d’installer des bancs lors d’un événement ou de co-décider du contenu de la programmation ?
Avant de vouloir la participation des autres, il faut déjà clarifier le cadre de participation afin qu’il soit clair et stimulant pour les participant·es et serein pour les personnes qui doivent partager le pouvoir dont elles disposent habituellement (parfois les salarié·es, les ancien·nes, …).
En partant des vécus des participant·es, d’apports théoriques et d’outils expérimentés durant la formation, l’intention est de se rapprocher de conditions propices à la participation. Des perspectives concrètes nouvelles avec de véritables enjeux.
De 2 à 6 jours pour :
– Clarifier ce qu’on nomme participation et les enjeux de pouvoir associés
– Définir les conditions propices à la participation
– Expérimenter des méthodes et outils participatifs
– Projeter concrètement de nouvelles manières de faire





